Bonjour aux éventuels amateurs totalement francophones de distros réellement minimalistes.
Puppy Linux peut en être une (ne l'est plus toujours: certains Puppy's (puppy = chiots) ont terriblement d'embonpoint!
Il a existé des versions totalement francisées de Puppy, qui ont une certaine "barbe" désormais, et dont les utilisateurs ont créé des forums francophones à part, vu qu'elles se basent sur des versions de linux qui arrivent ou dépassent 10 ans d'âge, ce qui est énorme en micro-informatique.
Puppy Linux est un concept d'utilisation de logiciels binaires de Linux dans un cadre déviant radicalement à certains égards du cadre hautement standardisé de Linux. En se libérant de ces contraintes, Puppy a pu rester minimaliste, et, ainsi, convenir et même donner des ailes à des micro-ordinateurs surannés en fait bons de nos jours à la casse. On leur évite ainsi la casse, et, pour l'utilisateur, la dépense. Ce qui donne des ailes est que la totalité de ces versions modifiées de Linux tourne en mémoire vive (et est donc oubliée instantanément à l'extinction de l'ordinateur). Ce mode de fonctionnement économise les fréquentes lectures de programmes sur le disque dur, même pour le moindre rien, et cela donne une énorme vélocité aux logiciels!
En outre, initialement, Puppy et ses semblables "économisaient" un proportion importante de modules accessoires (qui, par leur nombre, sous la source aussi de temps d'exécution supplémentaire, comme, précisément, les traductions en langues locales, ou des systèmes graphiques complexes tels que "Qt"): c'est ce qui les rendait plus petits, et c'est à ça que l'on redevait de pouvoir charger la totalité du système en mémoire vive.
Comme après l'extinction, la totalité de la session passée est oubliée, il n'y a pas de problème de sécurité: D'éventuels virus ne trouvent rien à attaquer dans la mémoire de masse (qui n'est que la mémoire vive et non pas le disque dur), et après l'extinction, l'éventuel virus fait partie de tout ce qui est oublié! Un tel système est donc de par nature considérablement plus sûr et fiable qu'un système toujours sur disque dur! On peut donc opérer en tant que "root". "root" est le pseudonyme standard de l'administrateur de tout système Linux. C'est une simplification considérable par rapport aux Linux usuels (mais, comparé à eux, on prend des habitudes de légèreté).
Mais, oui, il y a un mais, Puppy Linux ne peut s'installer lui-même en mémoire vive au début de chaque session que si il provient d'un fichier compacté (ou plusieurs dans les versions actuelles). S'il est installé en fichiers binaires indépendants (on appelle cela pleine installation) sur le disque dur (ou ce qui le remplace: disque dur virtuel ou non USB etc.), Puppy ne peut plus l'utiliser que comme un vulgaire Linux et ne peut plus le charger en mémoire vive, car cela devient trop complexe après le démarrage, les fichiers utilitaires étant déjà modifiés par le démarrage sur disque dur.
On n'installe donc pas réellement Puppy Linux, mais prépare seulement ses fichiers compactés exactement de la même manière qu'on les trouverait sur un vulgaire CD de démarrage: Nous appelons cela (un peu à tort car ce n'en est pas vraiment une): Installation frugale. C'est la méthode d'utilisation normale des vrais Puppy Linux!
Une installation frugale est donc la préparation des fichiers
- vmlinuz
- initrd
- et au moins un gros fichier compacté se terminant en *.sfs (quand on décompacte le fichier *.iso ou *.img qui contient toute la distribution), de nos jours souvent 2 ou 3 fichier *.sfs, voir plus.
De nos jours, il est quasi normal que Puppy Linux apparaisse prêts à l'usage en mode graphique avec un ou plusieurs message de salutation et d'invitation à des réglages. Rarement, quand il n'arrive pas à trouver les bons réglages, il y a une invitation en mode non graphique à contribuer aux bons réglages pendant le démarrage du système en mode non graphique (que nous appelons "mode caractères" ou mode CLI, soit Commando Line Interpréteur = interprétant en ligne de commande).
.
Comment utiliser Puppy Linux?
Comment utiliser Puppy Linux?
Last edited by chiot on Sun Jul 19, 2020 11:05 pm, edited 1 time in total.
sachant ce qui précède, expliquons le procédé
sachant ce qui précède, expliquons le procédé qui fut toujours, dès les premiers jours de Puppy Linux, valable et est toujours utilisable aujourd'hui et peut être considéré comme la méthode initiale et toujours valable de Puppy:
- soit on se procure un CD de démarrage de Puppy (est toujours possible au RU sur http://ebay.co.uk pour quelques euros par ex. Initialement, dans les toutes premières années, Barry Kauler expédiait d'Australie sur demande des CD's dans le monde entier contre modique rémunération)
- soit on télécharge un ISO de Puppy Linux officiel (sur les dépôts officiels de Puppy Linux, voir ce message viewtopic.php?p=277#p277 ou consulter les autres sites de Puppy Linux) ou d'une version dérivée (il y en a des centaines sur le site "Archives", par ex. https://archive.org/download/Puppy_Linu ... .19.56.iso grâce aux activités bénévoles de notre ami "ally", merci ally d'avoir préservé ainsi d'innombrables petits trésors d'activité puppyiste dont nous profitons aujourd'hui alors que le forum principal est devenu inaccessible), et, soit le grave sur CD dans le mode de gravure spécial pour fichiers .iso, ou procède à quelque chose d'équivalent (usage d'une clé USB etc.).
Si on est en ordinateur Windows n'ayant encore jamais lancé son système d'exploitation d'un tel support (mais windows le fait aussi pour (ré)installer), il faudra peut-être préalablement aller commuter dans les réglages de BIOS (accessibles selon l'ordinateur en maintenant pressée pendant les premières secondes de démarrage une touche telle que PF10 ou PF12, consulter les messages sur l'écran de démarrage... Dans ce cas, on n'aura souvent que les partitions nécessaires pour Windows et aura (peut-être) à réduire ultérieurement la plus vaste pour créer une partition dédiée à un ou plusieurs Linux! J'admets, pour simplifier, dans les lignes suivantes qu'au moins une telle partition adéquate est disponible pour Linux. Adéquate veut dire dans un système de fichiers de partition non "NTFS". Linux, créé de toute pièce sur des ordinateurs IBM-DOS ou MS-DOS, est compatible avec les anciens systèmes FAT de tels anciens ordinateurs. Toutefois, ils ne présentent pas toutes les propriétés disponibles sur les systèmes de fichiers spécifiques à LINUX. Il est donc préférable de disposer d'un vrai système de fichier de LINUX (ext2, ext3, ou ext4, voir d'autres, eux, plus ou moins révolus maintenant...). En fait, une seconde partition pour LINUX est souhaitable mais non impérative: la partition SWAP, avec laquelle LINUX peut compenser des insuffisances de mémoire vive.
on lance ensuite tout bonnement ce nouveau système d'exploitation de préférence en réallumant réellement l'ordinateur.
ce procédéré fut le procédéré normal quasi quotidien les quelques premières années de Puppy, à partir du CD, car l'usage de l'USB n'était pas implémenté dans les toutes premières versions stables (et ne se propagea à l'époque de toute manière que très lentement...)! c'était lent (bien que les premiers ISOs étaient minuscules (à partir de 20 MB, voir même bien moins dans des versions très spéciales ne permettant que de surfer sur le web via une simple ligne téléphonique à l'époque) comparés à aujourd'hui)
mais
libre
et
minimaliste!
Remarque accessoire mais importante pour des manips de sauvegarde de données:
le démarrage depuis CD (ou clé USB) fait que seule la SWAP éventuelle est en prise ce qui est requis pour corriger toutes les partitions! On peut déSWAPper la swap immédiatement après le démarrage!
- soit on se procure un CD de démarrage de Puppy (est toujours possible au RU sur http://ebay.co.uk pour quelques euros par ex. Initialement, dans les toutes premières années, Barry Kauler expédiait d'Australie sur demande des CD's dans le monde entier contre modique rémunération)
- soit on télécharge un ISO de Puppy Linux officiel (sur les dépôts officiels de Puppy Linux, voir ce message viewtopic.php?p=277#p277 ou consulter les autres sites de Puppy Linux) ou d'une version dérivée (il y en a des centaines sur le site "Archives", par ex. https://archive.org/download/Puppy_Linu ... .19.56.iso grâce aux activités bénévoles de notre ami "ally", merci ally d'avoir préservé ainsi d'innombrables petits trésors d'activité puppyiste dont nous profitons aujourd'hui alors que le forum principal est devenu inaccessible), et, soit le grave sur CD dans le mode de gravure spécial pour fichiers .iso, ou procède à quelque chose d'équivalent (usage d'une clé USB etc.).
Si on est en ordinateur Windows n'ayant encore jamais lancé son système d'exploitation d'un tel support (mais windows le fait aussi pour (ré)installer), il faudra peut-être préalablement aller commuter dans les réglages de BIOS (accessibles selon l'ordinateur en maintenant pressée pendant les premières secondes de démarrage une touche telle que PF10 ou PF12, consulter les messages sur l'écran de démarrage... Dans ce cas, on n'aura souvent que les partitions nécessaires pour Windows et aura (peut-être) à réduire ultérieurement la plus vaste pour créer une partition dédiée à un ou plusieurs Linux! J'admets, pour simplifier, dans les lignes suivantes qu'au moins une telle partition adéquate est disponible pour Linux. Adéquate veut dire dans un système de fichiers de partition non "NTFS". Linux, créé de toute pièce sur des ordinateurs IBM-DOS ou MS-DOS, est compatible avec les anciens systèmes FAT de tels anciens ordinateurs. Toutefois, ils ne présentent pas toutes les propriétés disponibles sur les systèmes de fichiers spécifiques à LINUX. Il est donc préférable de disposer d'un vrai système de fichier de LINUX (ext2, ext3, ou ext4, voir d'autres, eux, plus ou moins révolus maintenant...). En fait, une seconde partition pour LINUX est souhaitable mais non impérative: la partition SWAP, avec laquelle LINUX peut compenser des insuffisances de mémoire vive.
on lance ensuite tout bonnement ce nouveau système d'exploitation de préférence en réallumant réellement l'ordinateur.
ce procédéré fut le procédéré normal quasi quotidien les quelques premières années de Puppy, à partir du CD, car l'usage de l'USB n'était pas implémenté dans les toutes premières versions stables (et ne se propagea à l'époque de toute manière que très lentement...)! c'était lent (bien que les premiers ISOs étaient minuscules (à partir de 20 MB, voir même bien moins dans des versions très spéciales ne permettant que de surfer sur le web via une simple ligne téléphonique à l'époque) comparés à aujourd'hui)
mais
libre
et
minimaliste!
Remarque accessoire mais importante pour des manips de sauvegarde de données:
le démarrage depuis CD (ou clé USB) fait que seule la SWAP éventuelle est en prise ce qui est requis pour corriger toutes les partitions! On peut déSWAPper la swap immédiatement après le démarrage!
premier démarrage de Puppy Linux
admettons que tout se soit bien passé, l'écran graphique est apparu avec ses icônes suggestives épargnant la nécessité d'apprendre, et au moins une barre de commande avec une touche "menu".
il faut d'abord savoir que le système de fichier de LINUX a une conformation et hiérarchie imposée! Ne rien changer sans être expert, excepté dans le répertoire utilisateur! Dans tous les autres LINUX, c'est sans doute le répertoire /home/... (votre pseudo d'utilisateur). Dans PUPPY LINUX, c'est, normalement et en premier lieu le répertoire /root/ . Dans /root/, on a le droit de faire des tas de choses, mais on peut abîmer voir casser quand même le système en prenant trop de libertés! Dans ses sous-répertoires, par contre, par ex. /root/downloads (ou /root/téléchargements sur les systèmes francisés), on est assez voir totalement libre!
pour surfer dans les systèmes de fichiers, le vrai puppyiste utilise une application multi-usage appelée
rox ou rox-filer .
ce n'est pas qu'un navigateur de fichier mais un vaste organisateur de système graphique venant d'un autre dérivé de UNIX (LINUX est un clône libre de UNIX qui se veut authentique). Aux yeux de l'utilisateur, Puppy ne prend de rox que ses propriétés de navigateur de système de fichiers, mais il fait considérablement plus! Il apparait quand on clique sur l'icône du bureau HOME. On voit alors la partie visible de son répertoire personnel (une icône dans la barre de commande de la fenêtre de rox, permet d'un clic de voir aussi la partie invisible qui consiste en tous le fichiers et sous-répertoires dont le premier signe du nom est un point!).
Dans la fenêtre de travail de rox, on peut soit
- cliquer double clic touche souris gauche sur une icône qui sera alors lancée si c'est l'icône d'une application, ou ouverte si c'est un répertoire, ou visualisée si c'est un fichier document dans un format standard pour ce linux, ou
décompacter si c'est un archive (*.iso etc.). Alors, le décompacteur standard ouvrira sa fenêtre, montrera les fichiers contenus, et si on marque "tous" par ex. dans la barre supérieure, puis "décompacter", le décompactage aura lieu soit dans le répertoire utilisateur en l'absence d'autre adresse dans l'archive, soit aux adresses "relatives" prévues dans l'archive!
soit
- cliquer touche droite souris et obtenir une palette d'options!
on peut aussi marquer avec la souris et procéder à des transactions globales sur les objets marqués, et transférer ou copier d'une fenêtre de rox à une autre (en utilisant les autres touches spéciales, notamment "CAPITALES").
rox est une merveille...
après avoir suivi les instructions de premier démarrage, souvent plusieurs écrans successifs, en fait lassants, ils sont aussi disponibles via le menu, où c'est leur place et où cela aurait suffit, on peut s'occuper du
démarrage depuis le disque dur parce qu'il est extrêmement rapide.
mais avant encore un dernier mot pour les windows-istes en cours de conversion:
(probablement) tous les LINUX permettent de copier un texte en le marquant en un point et en cliquant sur la touche médiane / roulette souris en un autre point! ceci permet de recopier vite et sans aucun risque d'erreur (si on n'oublie pas des lettres du texte lors du marquage) des noms de fichiers, des adresses hiérarchiques complètes avec, des noms de famille compliqués, des numéros de compte bancaire etc.! Dans les navigateurs, l'autre point peut être sous un autre "tab" (l'utilisation de la souris au changement de tab n'altère pas toujours le marquage préalable!).
il faut d'abord savoir que le système de fichier de LINUX a une conformation et hiérarchie imposée! Ne rien changer sans être expert, excepté dans le répertoire utilisateur! Dans tous les autres LINUX, c'est sans doute le répertoire /home/... (votre pseudo d'utilisateur). Dans PUPPY LINUX, c'est, normalement et en premier lieu le répertoire /root/ . Dans /root/, on a le droit de faire des tas de choses, mais on peut abîmer voir casser quand même le système en prenant trop de libertés! Dans ses sous-répertoires, par contre, par ex. /root/downloads (ou /root/téléchargements sur les systèmes francisés), on est assez voir totalement libre!
pour surfer dans les systèmes de fichiers, le vrai puppyiste utilise une application multi-usage appelée
rox ou rox-filer .
ce n'est pas qu'un navigateur de fichier mais un vaste organisateur de système graphique venant d'un autre dérivé de UNIX (LINUX est un clône libre de UNIX qui se veut authentique). Aux yeux de l'utilisateur, Puppy ne prend de rox que ses propriétés de navigateur de système de fichiers, mais il fait considérablement plus! Il apparait quand on clique sur l'icône du bureau HOME. On voit alors la partie visible de son répertoire personnel (une icône dans la barre de commande de la fenêtre de rox, permet d'un clic de voir aussi la partie invisible qui consiste en tous le fichiers et sous-répertoires dont le premier signe du nom est un point!).
Dans la fenêtre de travail de rox, on peut soit
- cliquer double clic touche souris gauche sur une icône qui sera alors lancée si c'est l'icône d'une application, ou ouverte si c'est un répertoire, ou visualisée si c'est un fichier document dans un format standard pour ce linux, ou
décompacter si c'est un archive (*.iso etc.). Alors, le décompacteur standard ouvrira sa fenêtre, montrera les fichiers contenus, et si on marque "tous" par ex. dans la barre supérieure, puis "décompacter", le décompactage aura lieu soit dans le répertoire utilisateur en l'absence d'autre adresse dans l'archive, soit aux adresses "relatives" prévues dans l'archive!
soit
- cliquer touche droite souris et obtenir une palette d'options!
on peut aussi marquer avec la souris et procéder à des transactions globales sur les objets marqués, et transférer ou copier d'une fenêtre de rox à une autre (en utilisant les autres touches spéciales, notamment "CAPITALES").
rox est une merveille...
après avoir suivi les instructions de premier démarrage, souvent plusieurs écrans successifs, en fait lassants, ils sont aussi disponibles via le menu, où c'est leur place et où cela aurait suffit, on peut s'occuper du
démarrage depuis le disque dur parce qu'il est extrêmement rapide.
mais avant encore un dernier mot pour les windows-istes en cours de conversion:
(probablement) tous les LINUX permettent de copier un texte en le marquant en un point et en cliquant sur la touche médiane / roulette souris en un autre point! ceci permet de recopier vite et sans aucun risque d'erreur (si on n'oublie pas des lettres du texte lors du marquage) des noms de fichiers, des adresses hiérarchiques complètes avec, des noms de famille compliqués, des numéros de compte bancaire etc.! Dans les navigateurs, l'autre point peut être sous un autre "tab" (l'utilisation de la souris au changement de tab n'altère pas toujours le marquage préalable!).
démarrage depuis le disque dur parce qu'il est extrêmement rapide
la propriété de rox de décompacter en 3 clics les archives peut être mise à profit immédiatement pour
l'installation frugale de PUPPY LINUX
dans un sous répertoire du disque dur!
et cela accélèrera considérablement le démarrage des prochaines sessions de PUPPY LINUX, le disque dur étant considérablement plus rapide en lecture que le lecteur de CD ou de disquette.
normalement, si PUPPY LINUX démarre du CD mais trouve ses fichiers internes de même dénomination préalablement sur le disque dur, il utilise la version sur le disque dur, le CD n'étant plus, alors, finalement, qu'un amorceur de démarrage comme un simple BOOTLOADER (mais un bootloader sur le disque dur serait plus rapide que le bootloader du CD! Le CD contient le bootloader "grub" s'il fut gravé dans le mode pour fichier ISO!). C'est intéressant à savoir pour ceux qui ne veulent pas (encore) toucher à leur Windows ni utiliser un moyen via un connecteur USB!
l'installation frugale de PUPPY LINUX
dans un sous répertoire du disque dur!
et cela accélèrera considérablement le démarrage des prochaines sessions de PUPPY LINUX, le disque dur étant considérablement plus rapide en lecture que le lecteur de CD ou de disquette.
normalement, si PUPPY LINUX démarre du CD mais trouve ses fichiers internes de même dénomination préalablement sur le disque dur, il utilise la version sur le disque dur, le CD n'étant plus, alors, finalement, qu'un amorceur de démarrage comme un simple BOOTLOADER (mais un bootloader sur le disque dur serait plus rapide que le bootloader du CD! Le CD contient le bootloader "grub" s'il fut gravé dans le mode pour fichier ISO!). C'est intéressant à savoir pour ceux qui ne veulent pas (encore) toucher à leur Windows ni utiliser un moyen via un connecteur USB!
installation frugale de Puppy Linux
les partitions trouvées sur le disque dur sont symbolisées sur le bureau par des icônes.
choisir celle où doit être installé (ou la créer préalablement avec gparted!)
dans la fenêtre de rox qui s'ouvre, on peut créer alors un répertoire, par ex.
mon-1er-chiot
en cliquant sur la surface vide touche souris droite puis l'option "new" puis "directory", entrant ce nom et confirmant avec "return"
puis
en cliquant soit dans /root/download/ sur le fichier ISO de puppy ou,
soit sur l'icône de CD que l'on trouve sur le bureau si on a démarré depuis le CD,
on trouve les fichiers internes de l'ISO de Puppy que l'on veut installer!
avec rox, on les pousse tout bonnement sur la fenêtre ouverte du répertoire "mon-1er-chiot" si elle est ouverte, ou sur son icône!
il faut au moins 3 fichiers:
- vmlinuz
- initrd (quelque soit son extension, elle peut différer d'un Puppy à l'autre)
- tous les fichiers de l'ISO terminant en *.sfs
et c'est installé!
(si on se contente du CD comme fournisseur de bootloader, c'est déjà complètement installé!)
sinon, il faut ou installer avec puppy un logiciel bootloader ET alimenter son fichier de commande, ou compléter le fichier de commande, sans doute menu.lst ou grub.cfg dans le répertoire sans doute /boot/grub/ du disque dur si préalablement présent!
et on redémarre!
si tout se passe bien, moyennant l'utilisation du disque dur,
un second premier démarrage, celui donc depuis le disque dur
et c'est là que les messages d'accueil et de réglages deviennent vraiment intéressants si on veut mémoriser les réglages ensuite!
Dans le menu > System on trouve un logiciel pour l'installation d'un bootloader Grub4DOS bootloader config si on veut s'épargner l'utilisation de celui qui est sur le CD et est un peu plus lent (et engendre des bruits de lecteur de CD en diverses circonstances).
La réduction de taille d'une grosse partition préexistante se fait dans l'application gparted que l'on trouve à menu > System un peu plus bas. La création d'une nouvelle partition pour LINUX se fait aussi dans gparted.
Avec bootflash install Puppy to USB que l'on trouve dans menu > Setup , on peut installer en frugal sur clé USB...
Bonne chance!
choisir celle où doit être installé (ou la créer préalablement avec gparted!)
dans la fenêtre de rox qui s'ouvre, on peut créer alors un répertoire, par ex.
mon-1er-chiot
en cliquant sur la surface vide touche souris droite puis l'option "new" puis "directory", entrant ce nom et confirmant avec "return"
puis
en cliquant soit dans /root/download/ sur le fichier ISO de puppy ou,
soit sur l'icône de CD que l'on trouve sur le bureau si on a démarré depuis le CD,
on trouve les fichiers internes de l'ISO de Puppy que l'on veut installer!
avec rox, on les pousse tout bonnement sur la fenêtre ouverte du répertoire "mon-1er-chiot" si elle est ouverte, ou sur son icône!
il faut au moins 3 fichiers:
- vmlinuz
- initrd (quelque soit son extension, elle peut différer d'un Puppy à l'autre)
- tous les fichiers de l'ISO terminant en *.sfs
et c'est installé!
(si on se contente du CD comme fournisseur de bootloader, c'est déjà complètement installé!)
sinon, il faut ou installer avec puppy un logiciel bootloader ET alimenter son fichier de commande, ou compléter le fichier de commande, sans doute menu.lst ou grub.cfg dans le répertoire sans doute /boot/grub/ du disque dur si préalablement présent!
et on redémarre!
si tout se passe bien, moyennant l'utilisation du disque dur,
un second premier démarrage, celui donc depuis le disque dur
et c'est là que les messages d'accueil et de réglages deviennent vraiment intéressants si on veut mémoriser les réglages ensuite!
Dans le menu > System on trouve un logiciel pour l'installation d'un bootloader Grub4DOS bootloader config si on veut s'épargner l'utilisation de celui qui est sur le CD et est un peu plus lent (et engendre des bruits de lecteur de CD en diverses circonstances).
La réduction de taille d'une grosse partition préexistante se fait dans l'application gparted que l'on trouve à menu > System un peu plus bas. La création d'une nouvelle partition pour LINUX se fait aussi dans gparted.
Avec bootflash install Puppy to USB que l'on trouve dans menu > Setup , on peut installer en frugal sur clé USB...
Bonne chance!
l'utilisateur francophone et Puppy Linux
la propriété de décompacter très facilement une multitude de fichiers compacté en cliquant dessus avec touche souris gauche avec rox ne sert pas qu'à installer Puppy Linux en frugal, mais d'accéder à un grand nombre de fichiers compactés. Cela permet d'installer des applications très facilement, en cliquant sur le paquet, rox faisant même mieux quand il s'agit de l'un des paquets spéciaux pour Puppy Linux dont la désinence est en *.pet ou en *.sfs: rox passe alors automatiquement la main à l'installer de paquets nommé ppm (Puppy Package Manager).
Linux n'a rien pu faire pour les francophones vu que c'est le bazar dans la francophonie!
on n'en est pas conscient car chacun vit dans sa propre aire géographique, mais chaque aire géographique francophone a "son" clavier: belges, canadiens, français et suisses ont des claviers français différents! et dans des pays francophones lointains, où le clavier américain aussi est très fréquent, il faudrait de préférence le clavier américain international "us intl".
idem quand aux dictionnaires de contrôle orthographique mais pour d'autres raisons: ancienne ou nouvelle orthographe ou un mouton à 5 pattes pour les deux?
donc, on va toujours être déçu.
mais on peut régler son clavier à l'invitation de réglage déjà évoquée.
retenons toutefois que la commande en ligne de commande
permet de changer de clavier même en cours de document! Et dans des documents multi-lingues on peut utiliser ainsi une multitude de claviers dans un seul et unique document!
comme le dico français ne pouvait pas être intégré ne sachant quelles sont les priorités de l'utilisateur, il faut en chercher un ailleurs.
et on peut faire d'une pierre deux coups:
- franciser le navigateur Seamonkey
- le mettre à jour autant que possible
- et installer accessoirement un dico français préintégré dans le paquet Seamonkey en français.
on trouve Seamonkey en français ici:
https://www.seamonkey-project.org/releases/ actuellement 2.53.3 (certaines vieilles versions de Puppy Linux ne peuvent pas installer une version supérieure à 2.46.2. Après, il y a eu changements de bibliothèques C et celles installées dans le Puppy ne le permettent pas encore!)
En utilisant Seamonkey, on aura
- un navigateur absolument équivalent de la version correspondante de Firefox
- totalement en français même sur un Puppy Linux en anglais, et ce dans toutes ses fonctions qui sont absolment vastes:
- navigation sur l'internet et visualisation en ligne de vidéos et documents
- dans le cas de documents graphiques, masquage et réapparition instantanée de 3 des 5 ou 6 barres de commande en haut/bas de la fenêtre de Seamonkey (peut être capital en cartographie: pouvoir voir ou non apparaître le nom des rues etc.!) par un clic sur la bordure gauche de chaque barre
- édition de texte en mode WYSYG (ce que vous voyez est conforme au résultat), contrôle orthographique inclus,
- client courriel très performant et complet,
- carnet d'adresse,
- chat en ligne en IRC!
Il faut, après avoir quitté Seamonkey probablement ouvert pour télécharger, décompacter la nouvelle version, puis déplacer le répertoire là où se trouve la version anglaise fournie! C'est soit dans /usr/lib, soit dans /opt. Garder l'ancien nom (s'il diffère).
(Lorsque l'on fait quelque chose comme ça, d'abord, on n'efface pas mais redénomme autrement le vieux, par ex. /usr/lib/seamonkey en /usr/lib/exseamonkey ou /usr/lib/seamonkey~ , et vérifie si ça fonctionne correctement. On fait donc ça un jour où on a le temps de tester... On n'effacera après, que juste avant de remasteuriser Puppy Linux avant l'extinction de l'ordinateur, et cette remasteurisation elle aussi peut requérir considérablement de temps, selon la puissance du processeur de l'ordinateur...)
Linux n'a rien pu faire pour les francophones vu que c'est le bazar dans la francophonie!
on n'en est pas conscient car chacun vit dans sa propre aire géographique, mais chaque aire géographique francophone a "son" clavier: belges, canadiens, français et suisses ont des claviers français différents! et dans des pays francophones lointains, où le clavier américain aussi est très fréquent, il faudrait de préférence le clavier américain international "us intl".
idem quand aux dictionnaires de contrôle orthographique mais pour d'autres raisons: ancienne ou nouvelle orthographe ou un mouton à 5 pattes pour les deux?
donc, on va toujours être déçu.
mais on peut régler son clavier à l'invitation de réglage déjà évoquée.
retenons toutefois que la commande en ligne de commande
Code: Select all
setxkbmap "quelque chose"comme le dico français ne pouvait pas être intégré ne sachant quelles sont les priorités de l'utilisateur, il faut en chercher un ailleurs.
et on peut faire d'une pierre deux coups:
- franciser le navigateur Seamonkey
- le mettre à jour autant que possible
- et installer accessoirement un dico français préintégré dans le paquet Seamonkey en français.
on trouve Seamonkey en français ici:
https://www.seamonkey-project.org/releases/ actuellement 2.53.3 (certaines vieilles versions de Puppy Linux ne peuvent pas installer une version supérieure à 2.46.2. Après, il y a eu changements de bibliothèques C et celles installées dans le Puppy ne le permettent pas encore!)
En utilisant Seamonkey, on aura
- un navigateur absolument équivalent de la version correspondante de Firefox
- totalement en français même sur un Puppy Linux en anglais, et ce dans toutes ses fonctions qui sont absolment vastes:
- navigation sur l'internet et visualisation en ligne de vidéos et documents
- dans le cas de documents graphiques, masquage et réapparition instantanée de 3 des 5 ou 6 barres de commande en haut/bas de la fenêtre de Seamonkey (peut être capital en cartographie: pouvoir voir ou non apparaître le nom des rues etc.!) par un clic sur la bordure gauche de chaque barre
- édition de texte en mode WYSYG (ce que vous voyez est conforme au résultat), contrôle orthographique inclus,
- client courriel très performant et complet,
- carnet d'adresse,
- chat en ligne en IRC!
Il faut, après avoir quitté Seamonkey probablement ouvert pour télécharger, décompacter la nouvelle version, puis déplacer le répertoire là où se trouve la version anglaise fournie! C'est soit dans /usr/lib, soit dans /opt. Garder l'ancien nom (s'il diffère).
(Lorsque l'on fait quelque chose comme ça, d'abord, on n'efface pas mais redénomme autrement le vieux, par ex. /usr/lib/seamonkey en /usr/lib/exseamonkey ou /usr/lib/seamonkey~ , et vérifie si ça fonctionne correctement. On fait donc ça un jour où on a le temps de tester... On n'effacera après, que juste avant de remasteuriser Puppy Linux avant l'extinction de l'ordinateur, et cette remasteurisation elle aussi peut requérir considérablement de temps, selon la puissance du processeur de l'ordinateur...)
remasteuriser
on remasteurisera avec le logiciel que offert au menu > Setup déjà rencontré plus haut, sous le nom cette fois-ci Remaster Puppy live-CD.
mais avant bien tester!
et aussi utiliser une opportunité: rendre le dico français disponible aux autres logiciels aptes à l'utiliser! Là où il est, dans le répertoire /usr/lib/seamonkey/dictionaries, il ne sera trouvé que par Seamonkey. Si on déplace ce répertoire vers /usr/share et le nomme alors /usr/share/hunspell, il fera un bon dictionnaire hunspell (voir wikipedia!) pour le français! On peut mixer avec le dictionnaire anglais qui est préalablement dans hunspell!
mais, attention! Seamonkey ne le trouvera que si on remplace dans /usr/lib/seamonkey/ le répertoire dictionnaries par un lien symbolique vers /usr/share/hunspell.
là aussi, rox est le plus simple outil:
- en glissant d'une fenêtre à l'autre, on copie OU on déplace le fichier ou répertoire ou le groupe des deux marqué (rox questionne!)
- en glissant mais en maintenant pressée la touche MAJUSCULE, on peut, au lieu de copier, créer quasi automatiquement et instantanément un tel lien symbolique! Il portera à sa création le nom "hunspell". On change en "dictionaries" dans /usr/lib/seamonkey et le tour est joué.
mais on peut aussi apprendre à faire ça en ligne de commande:
à la remasteurisation, on réfléchira à dédier ou non des contenus personnels à certains répertoires ou fichiers de réglages se trouvant dans /etc ou /root, notamment les fichiers /etc/clock , /etc/fstab , /etc/keymap , /etc/localtime, /etc/X11/xorg.conf et /etc/xgd/templates/_root_jwmrc dans /etc et /root/.history, ainsi que /root/.mozilla (ou /root/.moonchildproductions si présent à la place de .mozilla!) et /root/.config et, là, certains répertoires, dont /root/.config/rox.sourceforge.net!). Attention, ne jamais laisser par inadvertance /root/.didiwiki ou /root/.wine en tant que répertoire dans une remasteurisation (les remplacer par un lien symbolique sur un point adapté dans une partition du disque dur! .wine peut devenir un immense équivalent de Windows!!!!). Inutile de vérifier soi-même, mais bon de la charger à temps de contenus supplémentaires les répertoires /usr/share/applications, /usr/share/fonts, et /usr/share/hunspell (voir tesseract-ocr si on scanne des textes). En général, on peut reporter le contenu de ces répertoires dans share ("share" = partager, c'est bien pour ça) d'une version de Puppy à l'autre. Seule précaution (penser au problème): y a t il des différences à craindre entre 32 et 64 bits si on utilise les deux...
clock, fstab, keymap, locatime, xorg.conf: consulter un bouquin en ligne sur Linux et xorg
. Et consulter les manuels de rox (existe en français 
, de didiwiki et de jwm (probablement en anglais seulement 
...)
remplacer s.v.p. la recherche google.com et même duckduckgo.com par http://lilo.org (vous ferez une réelle bonne action)!
mais avant bien tester!
et aussi utiliser une opportunité: rendre le dico français disponible aux autres logiciels aptes à l'utiliser! Là où il est, dans le répertoire /usr/lib/seamonkey/dictionaries, il ne sera trouvé que par Seamonkey. Si on déplace ce répertoire vers /usr/share et le nomme alors /usr/share/hunspell, il fera un bon dictionnaire hunspell (voir wikipedia!) pour le français! On peut mixer avec le dictionnaire anglais qui est préalablement dans hunspell!
mais, attention! Seamonkey ne le trouvera que si on remplace dans /usr/lib/seamonkey/ le répertoire dictionnaries par un lien symbolique vers /usr/share/hunspell.
là aussi, rox est le plus simple outil:
- en glissant d'une fenêtre à l'autre, on copie OU on déplace le fichier ou répertoire ou le groupe des deux marqué (rox questionne!)
- en glissant mais en maintenant pressée la touche MAJUSCULE, on peut, au lieu de copier, créer quasi automatiquement et instantanément un tel lien symbolique! Il portera à sa création le nom "hunspell". On change en "dictionaries" dans /usr/lib/seamonkey et le tour est joué.
mais on peut aussi apprendre à faire ça en ligne de commande:
Code: Select all
mv -s /usr/lib/share/hunspell /usr/share/exhunspellCode: Select all
mv -s /usr/lib/seamonkey/dictionaries /usr/share/hunspellCode: Select all
cd /usr/share/exhunspell & cp * /usr/share/hunspellCode: Select all
ln -s /usr/share/hunspell /usr/lib/seamonkey/dictionariesà la remasteurisation, on réfléchira à dédier ou non des contenus personnels à certains répertoires ou fichiers de réglages se trouvant dans /etc ou /root, notamment les fichiers /etc/clock , /etc/fstab , /etc/keymap , /etc/localtime, /etc/X11/xorg.conf et /etc/xgd/templates/_root_jwmrc dans /etc et /root/.history, ainsi que /root/.mozilla (ou /root/.moonchildproductions si présent à la place de .mozilla!) et /root/.config et, là, certains répertoires, dont /root/.config/rox.sourceforge.net!). Attention, ne jamais laisser par inadvertance /root/.didiwiki ou /root/.wine en tant que répertoire dans une remasteurisation (les remplacer par un lien symbolique sur un point adapté dans une partition du disque dur! .wine peut devenir un immense équivalent de Windows!!!!). Inutile de vérifier soi-même, mais bon de la charger à temps de contenus supplémentaires les répertoires /usr/share/applications, /usr/share/fonts, et /usr/share/hunspell (voir tesseract-ocr si on scanne des textes). En général, on peut reporter le contenu de ces répertoires dans share ("share" = partager, c'est bien pour ça) d'une version de Puppy à l'autre. Seule précaution (penser au problème): y a t il des différences à craindre entre 32 et 64 bits si on utilise les deux...
clock, fstab, keymap, locatime, xorg.conf: consulter un bouquin en ligne sur Linux et xorg
. Et consulter les manuels de rox (existe en français , de didiwiki et de jwm (probablement en anglais seulement ...)remplacer s.v.p. la recherche google.com et même duckduckgo.com par http://lilo.org (vous ferez une réelle bonne action)!
Last edited by chiot on Mon Jul 20, 2020 5:43 pm, edited 1 time in total.
de la quasi inutilité de sauvegarder!
ayant procédé ainsi et appris les tenants et les aboutissants, on sera sans doute convaincu de la quasi inutilité de sauvegarder!
en fait, les développeurs de Puppy Linux se révèlent très hautains de nous imposer, en plus des risques dans les sauvegardes et du confinement des données dans de telles voies sans issue, des fenêtres superflues et donc pertes de temps et de concentration sur notre travail pour des choses qui devraient passer par le menu!
un
bon
menu, c'est exactement à ça que cela sert
en fait, les développeurs de Puppy Linux se révèlent très hautains de nous imposer, en plus des risques dans les sauvegardes et du confinement des données dans de telles voies sans issue, des fenêtres superflues et donc pertes de temps et de concentration sur notre travail pour des choses qui devraient passer par le menu!
un
bon
menu, c'est exactement à ça que cela sert